En examinant en 1939 dans une note présentée à l’Académie des Sciences de Belgique une étude de M. Ronse, nous avons été amené à reprendre des considérations sur les mucilages des végétaux et en particulier sur ceux des algues (22; 31). Déjà en 1891, dans nos ”Observations algologiques“ nous avons examiné la nature et la structure des parois cellulaires de certaines algues et fait remarquer que la gaine mucilagineuse de Conjuguées, étudiée par divers auteurs était loin de présenter sur toute la surface d’un filament la même épaisseur. Des Spirogyra, par exemple, suivant des parties du filament, montraient une gaine nette et épaisse, ou à peine indiquée.